ONCE UPON A TIME

Les monstres sont réels. Les fantômes aussi. Ils vivent en nous. Et parfois… ils gagnent.

jeudi 24 avril 2014


Faut pas attendre qu'il soit trop tard pour dire qu'on tient aux autres, qu'on a besoin d'eux,
qu'on plongerait devant les balles rien que pour eux, qu'on sera toujours là.
Faut se dire la vérité, faut oser s'avouer les choses importantes. 
Faut se dire les mots qui font barrage, qui donnent du courage quand il y a du blizzard.

Pendant le jour, tout est complexe.
Rien n'est simple, quand je ne suis pas près de toi.
C'est alors, que je repasse en boucle dans ma tête ton sourire, l'odeur de ta peau, tes douces mains me caressant les cheveux, ta voix me susurrant à l'oreille que tu me trouves belle & que tu m'aimes. Je m’enivre de ses souvenirs palpables pour te garder auprès de moi à chaque instant. 

Il me manque tellement putain, c'est fou. Je l'aime.

mercredi 26 mars 2014


 Ne m'attends pas ce soir.
Car la nuit sera blanche et noire.

Il fait noir et je ne vois plus où je met les pieds. La lumière s'est éteinte et cela depuis trop longtemps déjà. C'est comme palper le vide les yeux bandés sans savoir sur quoi tu vas trébucher. Au départ t'es pétrifié, immobilisé et même tétanisé, puis tu marches d'un pas lent et hésitant mais tu cherches la lumière, une issue, l’échappatoire à tout ce merdier. 
Malgré tout ce qui me retient à cette noirceur, je continue d'avancer. Tout cela, car j'ai espoir. J'ai besoin de croire en quelque chose de profond, de solide, j'ai besoin d'être portée par une lueur pour que la vie puisse jamais me mettre à genoux. J'ai espoir en un nouveau destin, en un bonheur certain.
Changer de vie, c'est aussi dire au revoir à la dépression, à la peur récurrente de l'abandon, à la solitude, aux pensées assassines, aux sentiments délavés, au passé froissé, balayer les non-dit et les faux-semblants pour faire taire les sales travers. Car je fais partie de ceux qui tabassent leur parts d'ombres, qui ont du mal à s'entendre penser, qui font habituellement tout à l'envers, mais qui demeurent toujours bercés par l'espoir de reconstruire un avenir sur des ruines, sur lesquelles on nous a élevés. 
Je crois qu'en quelque sorte, c'est toi qui crée cette étincelle qui m'habite. Je te vois au bout du tunnel me tendant la main. Je te rejoins et c'est maintenant ensemble que nous continuons la route vers l'éclaircie du futur que je mérite. Car, je crois, d'une certaine manière que tu es cette flamme qui allumera la chandelle. 

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samedi 22 mars 2014


Et soudain, ça arrive, quelque chose se déclenche en toi et à ce moment-là tu sais que les choses vont changer. En fait, elle ont déjà changés sans crier gare, tu sais que plus rien ne sera jamais pareil désormais.
On a commis le crime parfait : Il a volé mon cœur & j'ai volé le sien. 
Tu essayes alors de te rappeler à quel moment tout à commencé, le moment précis où ton cœur à cédé devant son sourire ravageur. C'est ainsi que tu te rappelles que c'est bien plus vieux que tu ne le pensais, tu remontes toutes ces années et là tu fais remonter à la surface tout ces moments oubliés, logés au fond de toi. Et c'est là, seulement à ce moment-là, que tu réalises que les choses n'arrivent qu'une seule fois. Tu fais alors le dur constat que quelques soient les efforts que t'ai pu t’efforcer de faire durant toutes ces années, en tentant vainement de tomber amoureuse d'un autre homme, tu savais dans le fond que tu ressentirais plus jamais la même chose, que tu n'aurais plus jamais cette sensation d'être à trois mètres au-dessus du ciel.

C'est ironique comment le Destin peut se plaire parfois à taquiner les pauvres mortels. Séparant deux personnes pour les faire se retrouver bien des années plus tard.
Ses yeux de ciel bleuté, de feu, de miel, de gloire et enfin le teint doré de sa voix sereine, est un élan de lumière printanière qui t'éclaire et t'éblouit.
Le plaisir de mourir et de ressusciter pour vivre ivre d'amour le jour, la nuit, partout et pour l'éternité, n'est ce pas le but de la vie ? 
Des rires qui résonnent et des mots poignants. Se métamorphoser en sortilège tendre, te surprendre. En somme comme dans une rêverie, où tout est transport, où tout est folie lorsque l'amour s'inspire dans son délire, de l'amour divin.
Désormais tout devient compliqué; le matin quand je me réveille, j'ai le regret amer que son visage ne sois pas à côté du mien.
Les étoiles sont plus belles lorsque le souffle se perd. Les couleurs sont plus belles lorsque les membres s'engourdissent.


Il fait nuit, une clope entre les lèvres, je repense à nous, merde à quel point je t'aimais dans le passé et à quel point tu me rends de nouveau folle à présent.
& quand tu as conscience de ça, tu rentres dans une niaiserie qui te donne l'envie par exemple d'arrêter de fumer, de te séparer de tout ces trucs nuisibles qui te font du mal et de les remplacer par des grandes ballades, des chansons d'amour, des conversations enflammées, d'aller courir, sourire à la vie, ne penser qu'à toi, construire un art et t'en couronner roi.

Quand les yeux me brûlent et que je suis fatiguée, il y a tes bras rassurants pour me bercer.
Parce qu'il met un putain de pansement sur mes blessures, 
Parce que c'est bien la première fois qu'un homme me rends aussi mielleuse.
Que lorsque qu'il parcoure ma peau de ses mains douces, c'est tout mon corps qui frisonne.
Parce que sa sensibilité me touche et me prends au cœur.
Parce que sa douceur embrase tout mon être.
Parce que grâce à lui, je ne me sens plus terrifié la nuit.
Parce qu'il est ce petit soupir d'espoir quand tout semblait tomber en morceaux.
Parce que je l'aime, à m'en arracher la peau.
Alors quand je te dis je t'aime, ne me crois pas. Je mens.
C'est tellement faible face à ce que je ressens.



vendredi 31 janvier 2014


J'ai composé des rimes de toutes les couleurs,
J'ai inventé des Merlins magiciens et pervers,
des galaxies vagues, des océans, des mers
qui couronnaient ta tête d'orties et de fleurs.

C'est alors que le temps se déguisa en Néant en Infini.

Les instants, affolés, passèrent devant moi
traqués par les cadrans des montres sans sommeil,
tandis que, à l'horizon, prisonniers de tes pas,
s'entrechoquaient dans l'ombre le jour et le soleil.

J'ai métamorphosé mes pleurs 
en barricades de charmes.
Tes lèvres d'or me donna la fièvre, le désir, le délire,
La grâce qui s'étire, pardonne, se retire et puis donne la Mort.



mercredi 13 novembre 2013


Trode pensées qui s'entrechoquent dans ma tête, cela edevient assourdissant, surtout quancelles-ci
côtoient un silence quhurle sans cesse.
Les ruines de mon cœur sdressent comme un Colisée et c'esavec amertume quje tire le portrait de nombreux hommes , comme des œuvres abstraites recouvrant mon mue moderne. 

J'anorexie de la vie en fumant les miettes de tesourires.
Une traînée de poussière ruisselle à nouveau sur mocœur un peu trop éméché .
Il y a t-il un sens à cette vie rétitive Regarder le temps qui s'enfuit en pensant au trip danlequel je suis.
Etre tout le temps seule me donne froid et me déprime.
Collé dans les profondeurs de mes pupilles,il y a un océan de souvenirs. J'ai fait face au mur et à la guerre et j'ai fait à ma manière. Mais en quoi cela m'a fait avancer? L'espoir se moque de moi, joue le jeu, danse pour moi, un temps. Un moment. Avant de sombrer de nouveau dans le néant. Est-ce que je n'atteindrai jamais le souhait dans lequel je me suis noyé ?






Tu me manques, c’est dingue, c’est tragique, ça pue la merde, l’insécurité, le manque maladif, la maladie, ouais, ça pue le tabac, la drogue, toutes ces conneries qui me détruisent, mais qui ne me détruiront jamais autant que toi, c’est fatidique, c’est horrible, c’est terrifiant le manque d’affection, tu m’as sorti du vide pour me foutre dans le néant.

Je ne peux pas tomber amoureux de toi, petite conne. T’es aussi fragile qu’un verre en porcelaine. Mais je te désire comme personne, alors laisse-moi poser mes lèvres une seule fois sur les rebords de ta fragilité extrême. Qu’une seule fois, et je m’en irai par peur de te briser.